En décidant de conduire lui-même la délégation tunisienne au Sommet de la Francophonie (Erevan Arménie, 11-12 octobre 2018), le président Béji Caïd Essebsi a sans doute voulu donner un nouveau souffle à l’œuvre des pères fondateurs de cette « communauté de destin et de solidarité ». Fondée le 20 mars 1970 à Niamey (Niger), par les présidents Habib Bourguiba, Hamani Diori et Leopold Sedar Senghor, ainsi que et du Prince Norodom Sihanouk (Cambodge), elle portait alors le nom de l’Agence de Coopération Culturelle et Technique (ACCT). Son élargissement de 21 pays en 1970, à 84 Etats et gouvernements actuellement, pas nécessairement tous entièrement ou largement ...
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