Au hit parade des qualités réelles ou supposées dont nous gratifient les étrangers, qu’ils soient touristes, diplomates, hommes d’affaires ou artistes, figure en premier lieu l’hospitalité. De fait, le Tunisien a depuis toujours érigé l’hospitalité en vertu cardinale. C’est qu’elle fait partie intégrante de son héritage culturel comme le confirment les récits de voyageurs aux XVIe et XVIIe siècles. En un siècle, et sans se faire prier, notre pays a servi de terre d’asile à trois ou quatre reprises pour ses voisins : les Algériens pendant la guerre de libération de 1954 à 1962, les Palestiniens de 1982 à 1993 et les Libyens et les Subsahariens en ...
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