Ameur Laârayedh : « Le nouveau chef de gouvernement ne pourra être nommé officiellement que si le gouvernement actuel démissionne, conformément à la feuille de route »
Après l'annulation de la réunion prévue mardi, la plénière du dialogue national a repris ses travaux hier après-midi au siège du ministère des Droits de l'Homme et de la Justice transitionnelle. A l'ordre du jour, l'étude des compromis faite au sein de la commission du même nom, la question de l'amendement du règlement intérieur afin de rendre légale la commission des compromis. A ces points, Hichem Hosni, député et président du Parti populaire progressiste, ajoute « la nécessité de se mettre d'accord sur les garanties liées au respect des accords conclus ».
« Nous allons présenter un rapport sur les résultats du processus constituant et, notamment, sur les éventuels obstacles qui subsistent. Demain (aujourd'hui), c'est le début de la discussion sur la Constitution, il va falloir y aller unis, dans un climat d'entente. C'est le message que devront transmettre les élus à l'opinion publique», espère Ali Zeddini, vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l'Homme.
Le dirigeant du parti Ennahdha, Ameur Laârayedh, a, de son côté, indiqué qu'il n'y aura pas de désistement de la part du bloc nahdhaoui à l'ANC en ce qui concerne les principaux compromis sur lesquels son parti s'est engagé.
« Sur certaines questions, dites du deuxième round, il peut y avoir des divergences, qu'on résoudra par le dialogue », explique-t-il Par ailleurs, il réaffirme que « le nouveau chef de gouvernement ne pourra être nommé officiellement que si le gouvernement actuel démissionne, conformément à la feuille de route ».
Dépendant des travaux de la commission des compromis qui continue ses réunions à l'ANC, la réunion du dialogue reprendra aujourd'hui dans l'après-midi.
Après l'annulation de la réunion prévue mardi, la plénière du dialogue national a repris ses travaux hier après-midi au siège du ministère des Droits de l'Homme et de la Justice transitionnelle. A l'ordre du jour, l'étude des compromis faite au sein de la commission du même nom, la question de l'amendement du règlement intérieur afin de rendre légale la commission des compromis. A ces points, Hichem Hosni, député et président du Parti populaire progressiste, ajoute « la nécessité de se mettre d'accord sur les garanties liées au respect des accords conclus ».
« Nous allons présenter un rapport sur les résultats du processus constituant et, notamment, sur les éventuels obstacles qui subsistent. Demain (aujourd'hui), c'est le début de la discussion sur la Constitution, il va falloir y aller unis, dans un climat d'entente. C'est le message que devront transmettre les élus à l'opinion publique», espère Ali Zeddini, vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l'Homme.
Le dirigeant du parti Ennahdha, Ameur Laârayedh, a, de son côté, indiqué qu'il n'y aura pas de désistement de la part du bloc nahdhaoui à l'ANC en ce qui concerne les principaux compromis sur lesquels son parti s'est engagé.
« Sur certaines questions, dites du deuxième round, il peut y avoir des divergences, qu'on résoudra par le dialogue », explique-t-il Par ailleurs, il réaffirme que « le nouveau chef de gouvernement ne pourra être nommé officiellement que si le gouvernement actuel démissionne, conformément à la feuille de route ».
Dépendant des travaux de la commission des compromis qui continue ses réunions à l'ANC, la réunion du dialogue reprendra aujourd'hui dans l'après-midi.
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