Le gouvernorat de Tataouine souffre du manque d'espaces d'accueil pour enfants et de leur encombrement, notamment les jardins d'enfants et les garderies.
Selon les données présentées par le chef des services régionaux de l'enfance de Tataouine au correspondant de l'agence TAP dans la région, le nombre des jardins d'enfants dans ce gouvernorat ne dépasse pas les 41, dont 12 appartenant à l'Union tunisienne de solidarité sociale (UTSS) et qui sont réservées, d'habitude, aux enfants des familles nécessiteuses ou marginalisées dans les zones rurales ou les quartiers populaires. Dix jardins d'enfants opèrent illégalement et trois seulement ont demandé la régularisation de leur situation administrative.
En raison de l'insuffisance des jardins d'enfants, certains souffrent de l'encombrement, avec parfois 80 enfants pour un seul établissement, ce qui a un impact négatif sur l'encadrement des enfants, considéré par le responsable régional comme «le plus faible au niveau national».
L'encadrement est d'autant plus faible qu'il n'existe pas un inspecteur permanent dans la région, avec, uniquement, une seule visite d'un conseiller pédagogique.
Concernant les garderies, leur nombre est de 7 seulement, ce qui rend plus difficile la mission de prise en charge des enfants qui souffrent de difficultés, dans les différentes délégations du gouvernorat.
La situation rend nécessaire l'extension de ce centre ou la création d'autres, afin de sauver les enfants déshérités, surtout qu'il n'y a pas de centre intégré pour la jeunesse et l'enfance.
Pour sa part, le service régional de l'enfance de Tataouine a besoin d'un meilleur soutien qui passe par le renforcement des ressources humaines et de moyens matériels en vue d'améliorer les services.
Selon les données présentées par le chef des services régionaux de l'enfance de Tataouine au correspondant de l'agence TAP dans la région, le nombre des jardins d'enfants dans ce gouvernorat ne dépasse pas les 41, dont 12 appartenant à l'Union tunisienne de solidarité sociale (UTSS) et qui sont réservées, d'habitude, aux enfants des familles nécessiteuses ou marginalisées dans les zones rurales ou les quartiers populaires. Dix jardins d'enfants opèrent illégalement et trois seulement ont demandé la régularisation de leur situation administrative.
En raison de l'insuffisance des jardins d'enfants, certains souffrent de l'encombrement, avec parfois 80 enfants pour un seul établissement, ce qui a un impact négatif sur l'encadrement des enfants, considéré par le responsable régional comme «le plus faible au niveau national».
L'encadrement est d'autant plus faible qu'il n'existe pas un inspecteur permanent dans la région, avec, uniquement, une seule visite d'un conseiller pédagogique.
Concernant les garderies, leur nombre est de 7 seulement, ce qui rend plus difficile la mission de prise en charge des enfants qui souffrent de difficultés, dans les différentes délégations du gouvernorat.
La situation rend nécessaire l'extension de ce centre ou la création d'autres, afin de sauver les enfants déshérités, surtout qu'il n'y a pas de centre intégré pour la jeunesse et l'enfance.
Pour sa part, le service régional de l'enfance de Tataouine a besoin d'un meilleur soutien qui passe par le renforcement des ressources humaines et de moyens matériels en vue d'améliorer les services.
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