Pas moins de 750 participants, représentant plus de 250 associations, seront en conclave, du 25 au 28 courant, pour des débats sous le signe «Mobilisons-nous pour les élections»
Après la rencontre de Monastir, l'année dernière, voilà que cette manifestation s'est érigée en rendez-vous incontournable pour mettre sur le tapis une question d'actualité brûlante, celle des prochaines élections et les défis de leur réussite. Autant dire, pour débattre des moyens nécessaires à mobiliser pour leur assurer un bon déroulement dans un climat de concurrence saine et transparente. L'événement s'annonce, alors, de taille, étant donné que le recours aux urnes est l'une des meilleures illustrations de la démocratie, fût-elle naissante, sous nos cieux.
C'est dans cette optique que les assises de Djerba auront lieu, en prélude aux futures échéances électorales aussi impératives que décisives, suite auxquelles le pays post-révolutionnaire pourra se frayer un chemin vers la stabilité et le dénouement de la crise qu'il traverse actuellement. C'est pour cette raison que la société civile, toutes sensibilités confondues, s'est décidée à faire de son mieux pour gagner cet enjeu et relever, de la sorte, le défi de débattre de tous les obstacles qui peuvent obstruer ce parcours.
D'après le comité de pilotage, chef d'orchestre de ladite rencontre, les participants vont se pencher sur une approche par objectifs, afin de coordonner leurs efforts et agir dans l'unité des rangs. A cette occasion, ils auront à aborder l'opération électorale dans toutes ses phases; c'est-à-dire de l'observation jusqu'au verdict des urnes, en passant par l'inscription des électeurs, les campagnes médiatiques et le dépouillement des résultats.
Cette course mérite bel et bien un certain savoir-faire, mais aussi des préparatifs qui doivent venir à temps. Les prochaines élections, c'est demain, ne l'oublions pas. D'où l'importance de commencer, dès maintenant, à sensibiliser à grande échelle. La tâche n'est pas aussi facile qu'on pourrait le penser. Si la mobilisation s'impose comme maître-mot pour faire campagne, ce travail nécessite également coordination et conjugaison massive des efforts de toutes les forces vives de la société civile. Aussi faire participer des associations spécialisées aux élections, telles que l'Atide, Mouraquiboun (observateurs), Jeunesse sans frontières et la Ligue des électrices tunisiennes, est-il plus qu'intéressant, voire nécessaire.
Il importe, ici, de noter que le comité d'experts a mis en place un plan directeur des travaux des assises comportant les grandes lignes spécifiques du système électoral qui seront réparties sur des ateliers : «observation des élections», «financement des campagnes», «inscription sur les listes électorales», «cadre légal», «concurrence déloyale» et «médias et élections». Ces ateliers, auxquels s'ajoute celui intitulé «la participation féminine, de la jeunesse et des Tunisiens à l'étranger», visent à chercher les moyens susceptibles de garantir une large mobilisation possible autour de cet événement majeur que sont les prochaines élections. Seront également au menu, des débats, des documentaires et d'autres activités focalisées sur les précédentes élections. L'essentiel étant d'en tirer des enseignements.
Pour rappel, les assises de la société civile 2013 à Djerba sont organisées à l'initiative de l'Ugtt, du Réseau Destourna, de la Ligue tunisienne des droits de l'Homme (Ltdh), de l'Association tunisienne des femmes démocrates, du Forum tunisien des droits économiques et sociaux (Ftdes), de l'Association tunisienne pour l'intégrité et la démocratie des élections (Atide) et de l'Association tunisienne du droit constitutionnel, en partenariat avec le Réseau euroméditerranéen des droits de l'Homme et la Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme.
Après la rencontre de Monastir, l'année dernière, voilà que cette manifestation s'est érigée en rendez-vous incontournable pour mettre sur le tapis une question d'actualité brûlante, celle des prochaines élections et les défis de leur réussite. Autant dire, pour débattre des moyens nécessaires à mobiliser pour leur assurer un bon déroulement dans un climat de concurrence saine et transparente. L'événement s'annonce, alors, de taille, étant donné que le recours aux urnes est l'une des meilleures illustrations de la démocratie, fût-elle naissante, sous nos cieux.
C'est dans cette optique que les assises de Djerba auront lieu, en prélude aux futures échéances électorales aussi impératives que décisives, suite auxquelles le pays post-révolutionnaire pourra se frayer un chemin vers la stabilité et le dénouement de la crise qu'il traverse actuellement. C'est pour cette raison que la société civile, toutes sensibilités confondues, s'est décidée à faire de son mieux pour gagner cet enjeu et relever, de la sorte, le défi de débattre de tous les obstacles qui peuvent obstruer ce parcours.
D'après le comité de pilotage, chef d'orchestre de ladite rencontre, les participants vont se pencher sur une approche par objectifs, afin de coordonner leurs efforts et agir dans l'unité des rangs. A cette occasion, ils auront à aborder l'opération électorale dans toutes ses phases; c'est-à-dire de l'observation jusqu'au verdict des urnes, en passant par l'inscription des électeurs, les campagnes médiatiques et le dépouillement des résultats.
Cette course mérite bel et bien un certain savoir-faire, mais aussi des préparatifs qui doivent venir à temps. Les prochaines élections, c'est demain, ne l'oublions pas. D'où l'importance de commencer, dès maintenant, à sensibiliser à grande échelle. La tâche n'est pas aussi facile qu'on pourrait le penser. Si la mobilisation s'impose comme maître-mot pour faire campagne, ce travail nécessite également coordination et conjugaison massive des efforts de toutes les forces vives de la société civile. Aussi faire participer des associations spécialisées aux élections, telles que l'Atide, Mouraquiboun (observateurs), Jeunesse sans frontières et la Ligue des électrices tunisiennes, est-il plus qu'intéressant, voire nécessaire.
Il importe, ici, de noter que le comité d'experts a mis en place un plan directeur des travaux des assises comportant les grandes lignes spécifiques du système électoral qui seront réparties sur des ateliers : «observation des élections», «financement des campagnes», «inscription sur les listes électorales», «cadre légal», «concurrence déloyale» et «médias et élections». Ces ateliers, auxquels s'ajoute celui intitulé «la participation féminine, de la jeunesse et des Tunisiens à l'étranger», visent à chercher les moyens susceptibles de garantir une large mobilisation possible autour de cet événement majeur que sont les prochaines élections. Seront également au menu, des débats, des documentaires et d'autres activités focalisées sur les précédentes élections. L'essentiel étant d'en tirer des enseignements.
Pour rappel, les assises de la société civile 2013 à Djerba sont organisées à l'initiative de l'Ugtt, du Réseau Destourna, de la Ligue tunisienne des droits de l'Homme (Ltdh), de l'Association tunisienne des femmes démocrates, du Forum tunisien des droits économiques et sociaux (Ftdes), de l'Association tunisienne pour l'intégrité et la démocratie des élections (Atide) et de l'Association tunisienne du droit constitutionnel, en partenariat avec le Réseau euroméditerranéen des droits de l'Homme et la Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme.
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