La journaliste franco-tunisienne Hind Meddeb et le rappeur Aymen Feki, alias "Men-Ay", ont été condamnés lundi à quatre mois de prison avec sursis.
Mustapha Fakhfakh, alias "Mister Mustapha", a lui été relaxé.
"Nous pensons à faire appel", a dit Hind Meddeb.
La journaliste et les deux rappeurs étaient accusés d"’outrage à un fonctionnaire public dans l’exercice de ses fonctions" et d'"atteinte aux bonnes mœurs" après avoir contesté au sein du tribunal la condamnation du rappeur Weld El 15 à deux ans de prison ferme en première instance (peine commuée en appel à six mois avec sursis).
Des délits passibles respectivement de un an et six mois de prison ferme, selon les articles 126 et 226 du Code pénal tunisien. Hind Meddeb, qui était absente lors de la première audience le 7 octobre dernier, a décidé de comparaître cette fois devant le tribunal avec les deux rappeurs.
"Devant le juge, la journaliste a reconnu avoir lancé des insultes le jour des heurts, mais a assuré que cela "n'était pas adressé" à la police ou à la justice. Les deux rappeurs ont pour leur part clamé leur innocence", rapporte l'agence de presse.
Mustapha Fakhfakh, alias "Mister Mustapha", a lui été relaxé.
"Nous pensons à faire appel", a dit Hind Meddeb.
La journaliste et les deux rappeurs étaient accusés d"’outrage à un fonctionnaire public dans l’exercice de ses fonctions" et d'"atteinte aux bonnes mœurs" après avoir contesté au sein du tribunal la condamnation du rappeur Weld El 15 à deux ans de prison ferme en première instance (peine commuée en appel à six mois avec sursis).
Des délits passibles respectivement de un an et six mois de prison ferme, selon les articles 126 et 226 du Code pénal tunisien. Hind Meddeb, qui était absente lors de la première audience le 7 octobre dernier, a décidé de comparaître cette fois devant le tribunal avec les deux rappeurs.
"Mustapha, Aymen et moi sommes ici pour donner un signe de bonne foi, nous estimons que nous n'avons rien à nous reprocher", a-t-elle indiqué à l'AFP.
"Devant le juge, la journaliste a reconnu avoir lancé des insultes le jour des heurts, mais a assuré que cela "n'était pas adressé" à la police ou à la justice. Les deux rappeurs ont pour leur part clamé leur innocence", rapporte l'agence de presse.
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