La crise politique perdure en Tunisie. D'autant que le démarrage du "dialogue national" de sortie de crise a été reporté au vendredi 25 octobre.
Il devait pourtant commencer deux jours plus tôt, après un engagement du gouvernement à démissionner. Mais l'opposition a jugé "ambigus" les propos du Premier ministre, l'islamiste Ali Larayedh, sur cet engagement.
La crise politique paralyse le pays depuis le 25 juillet et l'assassinat du député d'opposition Mohamed Brahmi, un crime attribué à la mouvance jihadiste.
Mouvance dont l'essor ne cesse de déstabiliser le pays. Six gendarmes et un combattant armé ont été tués, mercredi, dans des affrontements avec un groupe "terroriste" dans la région de Sidi Bouzid (centre-ouest du pays).
Il devait pourtant commencer deux jours plus tôt, après un engagement du gouvernement à démissionner. Mais l'opposition a jugé "ambigus" les propos du Premier ministre, l'islamiste Ali Larayedh, sur cet engagement.
La crise politique paralyse le pays depuis le 25 juillet et l'assassinat du député d'opposition Mohamed Brahmi, un crime attribué à la mouvance jihadiste.
Mouvance dont l'essor ne cesse de déstabiliser le pays. Six gendarmes et un combattant armé ont été tués, mercredi, dans des affrontements avec un groupe "terroriste" dans la région de Sidi Bouzid (centre-ouest du pays).
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