Tunisie : De nouvelles graves révélations par Walid Zarrouk
Dans un entretien avec le journal Al Chourouk du 9 octobre 2013, Walid Zarrouk est revenu sur l’emprisonnement du dénommé Ali Herzi en 2012.
Cet islamiste était soupçonné fin 2012, d’être impliqué dans l’assassinat de l’ambassadeur des Etats-Unis en Libye.
Pendant sa détention, des enquêteurs du CIA sont venus l’interroger à 23h en compagnie d’un responsable du ministère de la justice dirigé à l’époque par Nouredine Bhiri.
Le détenu avait refusé de répondre et avait voulu se suicider. Selon Zarrouk, le ministre Bhiri avait su que l’avocat de Herzi était sur le point de révéler cette affaire à la presse.
Il l’a alors libéré, début janvier 2013, faisant un pied de nez aux Etats-Unis et aux institutions judiciaires tunisiennes. Herzi s’est alors fondu dans la nature.
Quelques mois plus tard, il participait à l’assassinat de Bélaid, de Brahmi et des militaires de Chaâmbi.
Dans un entretien avec le journal Al Chourouk du 9 octobre 2013, Walid Zarrouk est revenu sur l’emprisonnement du dénommé Ali Herzi en 2012.
Cet islamiste était soupçonné fin 2012, d’être impliqué dans l’assassinat de l’ambassadeur des Etats-Unis en Libye.
Pendant sa détention, des enquêteurs du CIA sont venus l’interroger à 23h en compagnie d’un responsable du ministère de la justice dirigé à l’époque par Nouredine Bhiri.
Le détenu avait refusé de répondre et avait voulu se suicider. Selon Zarrouk, le ministre Bhiri avait su que l’avocat de Herzi était sur le point de révéler cette affaire à la presse.
Il l’a alors libéré, début janvier 2013, faisant un pied de nez aux Etats-Unis et aux institutions judiciaires tunisiennes. Herzi s’est alors fondu dans la nature.
Quelques mois plus tard, il participait à l’assassinat de Bélaid, de Brahmi et des militaires de Chaâmbi.
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