Ce qui s’est passé vendredi dernier à la caserne de l’Aouina est
une rébellion, la justice militaire sera saisie pour mettre fin à ce
genre de dérive, a déclaré lundi le porte-parole officiel de la
présidence de la République, Adnène Mansar.
Cependant, «ce n’est pas au président de la République, commandant suprême des forces armées, de saisir la justice militaire», a-t-il précisé. Le « dégage» lancé aux trois présidents pendant la cérémonie d’hommage funèbre aux deux gardes nationaux « n’est pas une affaire interne » comme le considèrent certaines parties. Elle touche à la sécurité intérieure et extérieure de l’Etat, a-t-il estimé.
L’incident de l’Aouina aurait dégénéré en bain de sang entre les protestataires et la sécurité présidentielle ou en guerre civile pouvant entraîner un vide constitutionnel, a-t-il fustigé. Mansar a critiqué les « opposants amateurs qui, a-t-il souligné, croient que quand ils encouragent pareils comportements ils portent seulement préjudice au gouvernement alors que c’est l’Etat qui est visé ».
Le porte-parole de la présidence de la République a ensuite démenti les informations selon lesquelles le cortège des 3 trois présidents aurait accusé un retard de plus de trois heures. Il a expliqué que le temps d’arrivée des trois présidents est fixée par le commandement de la garde nationale en fonction du temps d’arrivée des corps des deux victimes.
Mansar s’est dit persuadé que « les pancartes levées par les protestataires ont été préparées la veille ».
Il a déploré la présence, à la cérémonie, d’éléments n’appartenant pas à la caserne de l’Aouina, en allusion aux représentants des syndicats sécuritaires.
Cependant, «ce n’est pas au président de la République, commandant suprême des forces armées, de saisir la justice militaire», a-t-il précisé. Le « dégage» lancé aux trois présidents pendant la cérémonie d’hommage funèbre aux deux gardes nationaux « n’est pas une affaire interne » comme le considèrent certaines parties. Elle touche à la sécurité intérieure et extérieure de l’Etat, a-t-il estimé.
L’incident de l’Aouina aurait dégénéré en bain de sang entre les protestataires et la sécurité présidentielle ou en guerre civile pouvant entraîner un vide constitutionnel, a-t-il fustigé. Mansar a critiqué les « opposants amateurs qui, a-t-il souligné, croient que quand ils encouragent pareils comportements ils portent seulement préjudice au gouvernement alors que c’est l’Etat qui est visé ».
Le porte-parole de la présidence de la République a ensuite démenti les informations selon lesquelles le cortège des 3 trois présidents aurait accusé un retard de plus de trois heures. Il a expliqué que le temps d’arrivée des trois présidents est fixée par le commandement de la garde nationale en fonction du temps d’arrivée des corps des deux victimes.
Mansar s’est dit persuadé que « les pancartes levées par les protestataires ont été préparées la veille ».
Il a déploré la présence, à la cérémonie, d’éléments n’appartenant pas à la caserne de l’Aouina, en allusion aux représentants des syndicats sécuritaires.
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