Le changement de régime et l’instabilité qui fait suite à une révolution ne sont pas véritablement une aubaine pour les entreprises étrangères qui avaient fait le choix de se délocaliser en Tunisie.
Malgré les avertissements répétés de la Banque Centrale qui préconisait la fin des manifestations, les rassemblements et autres sit-in ont perduré, paralysant ainsi la croissance économique du pays.
Dans un pays en pleine transition politique, les grèves successives et les revendications sociales semblent avoir eu raison de la fuite des capitaux étrangers, condamnant la société tunisienne à une recrudescence du chômage.
Selon Habib Guiza, secrétaire général de la CGTT, le gouvernement provisoire est le principale responsable.
Source : Webdo
Malgré les avertissements répétés de la Banque Centrale qui préconisait la fin des manifestations, les rassemblements et autres sit-in ont perduré, paralysant ainsi la croissance économique du pays.Wided Bouchamaoui, présidente de l’UTICA a par ailleurs dressé un triste constat lors de son intervention sur la radio Shems FM, selon cette dernière, c’est au total 120 entreprises étrangères qui ont fuit la Tunisie depuis la révolution de jasmin.
Dans un pays en pleine transition politique, les grèves successives et les revendications sociales semblent avoir eu raison de la fuite des capitaux étrangers, condamnant la société tunisienne à une recrudescence du chômage.
Selon Habib Guiza, secrétaire général de la CGTT, le gouvernement provisoire est le principale responsable.
Source : Webdo
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