Cela demande une mise à jour des équipements de censure. Et cela demandera aussi un investissement non programmé dans le budget de l’Agence. Le recours au seul logiciel connu sous le nom de Smartfilter nécessitera une grosse sortie en devise. Est-ce le bon moment, alors que la Tunisie mobilise tous ses moyens pour récupérer ses avoirs éparpillés à m’étranger ?
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